jeudi 3 juillet 2014

Sarkozy dira "fin août, début septembre" s'il est candidat à la présidence de l'UMP

L'ancien président de la République a choisi de répondre, dans un premier temps, sur le terrain médiatique, aux accusations portées contre lui et à sa mise en examen intervenue dans la nuit de mardi à mercredi. Suivez ici en direct les derniers développements de l'affaire.





Mis en examen pour corruption active, trafic influence et recel de violation du secret de l'instruction, dans la nuit de mardi à mercredi, Nicolas Sarkozy a décidé de contre-attaquer, jeudi, sur le terrain médiatique. Il a répondu aux questions d'Europe 1 et TF1.

Dans la matinée, le Premier ministre Manuel Valls avait qualifié les faits reprochés à Nicolas Sarkozy de "graves". A droite, les ténors de l'UMP n'ont pas eu de mots assez forts pour dénoncer un "acharnement judiciaire". Retrouvez ici les dernières déclarations, et tout ce qu'il faut savoir sur l'affaire.

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22h30 - L'entourage de Hollande réagit. Si l'Elysée ne fait aucun commentaire officiel, l’entourage du Président estime que c’est une affaire qui concerne uniquement la justice.


22h21 - Florian Philippot, du Front national trouve un peu "faiblarde" la réponse de Nicolas Sarkozy qui était selon lui, "dans la complainte". Pour le frontiste, "Nicolas Sarkozy est disqualifié" depuis longtemps.

"Si c'est (Nicolas Sarkozy) le seul recours de l'UMP, ce parti est dans un état lamentable", a-t-il ajouté.


22h210 - Jacques Séguéla trouve "inadmissible de mettre en garde à vue un ancien président". Le publicitaire pense que cela dégrade l'image de la France.


22h - Selon Eric Brunet, éditorialiste pour RMC/BFMTV marqué à droite, la parole de Nicolas Sarkozy a été ce soir "d'utilité publique" en ce qu'elle a permis de mettre "en évidence des réseaux de connivence informels" entre certains magistrats et politiques. "Les investigations c'est toujours du même côté qu'on les mène", a-t-il déploré, dénonçant des "écoutes filantes utilisées dans les dictatures".

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